20 h 15. Arrivée chez mon Maître, vêtue de mon long manteau qui dissimule une petite jupe plissée noire. Dans la chambre, je finis de me préparer en enfilant mes bottines et en arrangeant ma longue perruque.

Puis je retourne au salon et à ses pieds, avec ma boîte à accessoires BDSM et... une carte-mémoire plus un trépied. Ma condition d'esclave et les inévitables supplices associés vont être enregistrés !

La vidéo est ici

Après application du bâillon et des menottes aux chevilles, il passe à l'inspection sous ma jupe et découvre un string rose à froufrous, avec des fentes d'ouverture devant et derrière, mais complètement débraillé. "C'est du n'importe quoi !" murmure-t-il. Ca commence mal... et il n'a pas tort. J'ai quitté mon domicile en retard, après une préparation effectuée à la va-vite, et sans vraiment réaliser que la taille de ce string tout neuf était trop juste.

En inspectant ma chatte, il me demande pourquoi je n'ai pas mis de lubrifiant, alors que le tube se trouve dans ma boîte à accessoires. A travers le bâillon, je lui réponds non sans un certain embarras que j'ai oublié... Comme il aurait préféré que je lui annonce que j'en ai plus besoin, j'ai droit à ma première punition : 10 fessées, et en ne faisant pas semblant de frapper ! Suite à ce traitement douloureux, il m'informe que je prendrai une autre correction dans la soirée, pour avoir mal nettoyé avec l'aspirateur lors du rendez-vous précédent. En effet, il a découvert que je n'avais pas éliminé la poussière à l'emplacement où reposait mon sac.

Le temps que je me remette de cette première sentence, il installe le trépied et l'appareil-photo. La première scène filmée est celle de l'introduction d'un gode, non sans difficultés, et en insistant avec une telle puissance que l'objet finit par pénétrer brutalement dans ma chatte sensible, ce qui me fait gémir de douleur. "Tu as travaillé ta chatte ?" - "Oui Maître !". Sans vouloir lui manquer de respect, il a surtout mal regardé et visé un tantinet à côté...

Puis, entravée avec les menottes aux chevilles, je dois passer l'aspirateur rapidement dans tout l'appartement. Sur mon passage, il remarque que mon clito mouille (de plaisir !) et laisse échapper quelques gouttes sur le carrelage. Il me suggère, lors du prochain rendez-vous, d'insérer une tige pour colmater la fuite...

A titre de pause entre les tâches ménagères, j'ai droit à une gâterie de la part de mon Maître. Dans la plupart des cas, il ouvre son pantalon et offre sa queue à ma langue et à ma bouche grande ouverte. Il me félicite pour mes progrès accomplis, même si j'ai toujours un inévitable réflexe de rejet lorsque je le reçois bien profond dans ma gorge. Je préfère nettement jouer avec ma langue...

Après avoir fait la vaisselle, j'ai droit au dessert. Il rouvre son pantalon et me demande de présenter ma langue pour recevoir son doux nectar que je suis priée d'avaler. Je conserve ainsi en moi cette partie de lui-même qu'est sa semence....

Puis je suis autorisée à passer tout l'appartement avec une serpillière, à 4 pattes, les chevilles toujours entravées, la culotte abaissée et le gode entre les fesses.

En fin de travaux, je m'attendais à recevoir une autre récompense, en position à 4 pattes. Mais en retirant le gode, il découvre une saleté, malgré tous mes efforts de nettoyage lors de ma longue préparation. Ce n'est pas faute d'avoir enchaîné une série des lavements sans fin jusqu'à la propreté parfaite de ma chatte avant de partir chez mon Maître. A part ne plus m'alimenter dans les 48 heures qui précèdent le rendez-vous, je ne sais plus quoi faire !

N'ayant pas satisfait aux exigences de propreté parfaite, et comme il me l'avait promis, j'ai droit à une sévère punition : 50 coups de ceinturon sur les fesses ! La pénitence est dure, trop dure même. A quatre pattes, la jupe relevée, j'encaisse malgré tout jusqu'au bout, en comptant les claquements un à un. Au coup final, je me redresse subitement pour ne pas m'exposer davantage à la sentence, car là ça fait beaucoup...

Puis, vers 21 h 30, il me libère de mes obligations de servante. Je retourne dans ma chambre, remets ma perruque courte et mes cuissardes, enfile mon long manteau, récupère les accessoires et souhaite une bonne soirée à mon Maître.

De retour en voiture, je rouvre mon manteau et parcours la ville sans que les quelques piétons remarquent quoi que ce soit de ma courte jupe, mes bas résilles et mes hautes cuissardes. Mais, c'est plus fort que moi, j'ai envie de marcher dehors ainsi vêtue, le manteau ouvert, et, bien évidemment, dans un endroit discret. Sur mon chemin du retour, je trouve un parking surélevé et vide. Je gare ma voiture, je m'assure qu'il n'y aucun passant aux alentours, et descends de ma voiture.

Malgré une température fraîche de 5° C, je goûte au plaisir de flâner dans une tenue féminine un tantinet provocante, le manteau long ouvert, en restant près de ma voiture, et en observant les automobilistes qui s'arrêtent plus bas au carrefour puis continuent leur route. Soudain, je vois passer une voiture de la police municipale. Ne voulant pas prendre le risque d'être repérée et que mon comportement et ma tenue soient mal interprétés, je retourne aussitôt à ma voiture, sans précipitation. C'est la fin de ce moment agréable écourté, mais ce n'est que partie remise...

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